AVANT-PROPOS Livre, Réponse sur les violences faites aux femmes au Congo : Inès Nefer Bertille Ingani, ministre de la Promotion de la femme et de l'intégration de la femme au développement

Publié le 15 juin 2025 à 08:19

Dès l'entame de son ouvrage, Réponse sur les violences faites aux femmes au Congo : Inès Nefer Bertille Ingani, ministre de la Promotion de la femme et de l'intégration de la femme au développement, à la page 11, Chapitre Avant-Propos, le juriste et écrivain, Richard Ossoma-Lesmois, apporte une précision importante aux types de solutions face à la problématique des violences faites aux femmes au Congo-Brazzaville. Certes, la réponse n'est pas complète, à ce stade. La loi Mouebara impacte substantiellement sur l'imaginaire collectif congolais et modifie le regard des hommes sur les femmes, dans la perspective du progrès et de bâtir une société qui prennent en compte les attributs de la citoyenneté pour les femmes, victimes des violences. Série Diplomatie & Culture, Récit de vie Afrique subsaharienne.

C'est par la loi du 4 mai 2022, loi dénommée Mouebara, que la République du Congo répond face aux violences que subissent les femmes et les jeunes filles au quotidien. Selon les dispositions générales contenues dans l’article premier, la loi Mouebara, donne une réponse pluridisciplinaire aux auteurs des violences commises à l'encontre des femmes.

L’effort entrepris par la ministre de la Promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, Inès Ingani, améliore l’interprétation de la loi du 14 juin 2010 relative à la protection de l’enfant. Progressivement, le Congo adapte sa législation au degré de délinquance quotidienne à l’encontre des femmes qui s’est accrue ces vingt-cinq dernières années. La République du Congo devient le deuxième pays africain, après l’Afrique du Sud, à se doter d’une loi-cadre en matière de lutte contre les violences faites aux femmes.

La protection des femmes apportée par la loi ne signifie pas privilège. La loi ne relaie pas la propagande véhiculée par les courants féministes radicaux. Le dispositif franchit un étage supplémentaire dans la longue marche des femmes pour la conquête des droits nouveaux.

Car le Paragraphe 12 du Protocole de Maputo signé le 11 juillet 2003 par les États africains, dont la République du Congo, souligne qu’en dépit de la ratification par la majorité des États parties à la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, et de tous les autres instruments internationaux relatifs aux droits de l’homme, et de l’engagement solennel pris par les États d’éliminer toutes les formes de discriminations et de pratiques néfastes à l’égard des femmes, la femme en Afrique continue d’être l’objet de discriminations et de pratiques néfaste.

Série Diplomatie & Culture Récit de vie Afrique subsaharienne auteur    Ossoma-Lesmois Richard

La loi contre les violences commises à l’égard des femmes appelée, loi Mouebara, prouve l’utilité du département spécifique dédié à l’amélioration de la condition féminine en République du Congo. Plus intellectuellement, l’attention accordée, au plus haut niveau, aux femmes d’éclore leur chefferie et de participer au processus de prise de décisions importantes.

TELECHARGEZ (gratuit)      Avant-propos Livre, Réponse sur les violences faites aux femmes au Congo (texte intégral) par Richard Ossoma-Lesmois

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