Loi Mouebara sur les violences faites aux femmes au Congo complète le code pénal et le code de procédure, explique madame Inès Nefer INGANI, ministre de la Promotion de la femme et l'intégration de la femme au développement après le vote au Parlement. Le 4 mai 2022 est promulguée la loi réprimant les violences à l'encontre des femmes et des jeunes filles en République du Congo. Une victoire pour les femmes qui franchissent un pallier supplémentaire dans la conquête des droits nouveaux. Propos rapportés dans l'ouvrage, Réponse sur les violences faites aux femmes au Congo, série Diplomatie & Culture Récit de vie Afrique subsaharienne. Livre avec illustration écrit par l'écrivain humaniste et juriste Richard Ossoma-Lesmois
"Nous avons souffert avant d'arriver au vote de la loi Mouebara. Notre projet de loi a obtenu l'avis favorable de la Cour Suprême statuant en conseil de Gouvernement "
Inès Nefer Bertille INGANI, ministre de la Promotion de la femme et de l'intégration de la femme au développement en République du Congo.
Loi Mouébara contre les violences faites aux femmes au Congo, c'est mon bébé
L'accouchement a été difficile après de longues heures de débats théoriques et les agitations chez une partie de la population hystérique quand on évoque les souffrances des femmes. Enfin, le 4 mai 2022, la loi contre les violences faites aux femmes et aux jeunes filles en République du Congo est promulguée. La loi comporte soixante-dix-sept articles, répartis dans six titres. Le processus d’adoption de la loi dénommée « Mouébara » s’est déroulé sans encombre au Parlement congolais.
À l’Assemblée nationale, le projet de loi porté par la ministre de la Promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, Inès Ingani, est passé comme une lettre à la poste. Les députés présents à la séance plénière ont voté la loi en première lecture à l’unanimité, le 1er mars 2022. Vingt-quatre heures plus tard, le Sénat adopte la loi en deuxième lecture. Une victoire pour l’ensemble des Congolais. Chevillée au corps, Inès Nefer Bertille Ingani entonne un son de cloche dans l’amélioration de la condition féminine au Congo-Brazzaville. Suivant le processus constitutionnel classique, le président de la République promulgue la loi le 4 mai 2022.
Sur cette question, c’est une lutte des femmes menée avec entrain dont le résultat aboutit à une coproduction législative. L’adoption de la loi Mouebara met en évidence l’intelligence collective des partenaires de développement, les services publics hospitaliers, les acteurs de la société civile, les magistrats de la Chambre administrative de la Cour suprême, le ministère de la Promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement. Meneuse, Inès Nefer Bertille Ingani réussit à infléchir les décisions politiques en une forme d’humanisation perceptible par le cœur et la raison.
L’adoption de la loi Mouebara met en évidence l’intelligence collective des partenaires de développement, les services publics hospitaliers, les acteurs de la société civile, les magistrats de la Chambre administrative de la Cour suprême, le ministère de la Promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement. Meneuse, Inès Nefer Bertille Ingani réussit à infléchir les décisions politiques en une forme d’humanisation perceptible par le cœur et la raison. Militante engagée, elle y a mis toute son énergie. Arrachant les avis favorables sur l’utilité de la loi, Inès Nefer Bertille Ingani force une dose de justice allant jusqu’à la réparation du préjudice subi par les femmes victimes de violences.
Militante engagée, elle y a mis toute son énergie. Arrachant les avis favorables sur l’utilité de la loi, Inès Nefer Bertille Ingani force une dose de justice allant jusqu’à la réparation du préjudice subi par les femmes victimes de violences.
Inès Nefer Bertillle Igani n’a pas d’histoire à raconter. Simplement, la diva passionne par sa prestance. Charmeuse des serpents, elle agit dans la spontanéité. La noblesse de son engagement cible les couches populaires. Comme toutes les femmes de son rang, Inès Nefer Bertillle Ingani aspire à une notoriété et une autorité qui ne soient pas calquées sur un modèle quelconque.
" Ensuite, l'Assemblée nationale a adopté la loi Mouebara à l'unanimité. Ce qui nous rassurait pour la suite. La loi que nous avons porté au Parlement classifie chaque type d'infraction constituant un cas de violence exercée à l'encontre des femmes. La loi détermine le délit et en fixe la peine. La loi Mouebara va lus loin. Dans certains cas, l'infraction, du fait de violence constatée dévient un crime, lorsque la victime trouve la mort ."
Inès Nefer Bertille INGANI, ministre de la Promotion de la femme et de l'intégration de la femme au développement en République du Congo.
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