" Je me représentais à quel point mon existence était suspendue à attendre le jugement du divorce. La lenteur administrative m’effrayait. Ce qui n’était pas le cas de mon épouse qui affichait une indifférence quant à la rupture de notre vie conjugale. Avec les conséquences que cela comportait : l’éparpillement des enfants par la mesure complémentaire de la garde alternée. Prise par la folie d’une époque, ma femme osait le divorce. Notre mariage durait huit ans. Vivre en couple un moment puis, se séparer. Au moins, Cassandra avait tenté l’expérience. Du coup, ma future ex-femme réclamait la garde des enfants, tout en complétant garder l’usage de mon nom, telle qu'imprimée officiellement sur sa carte d'identité. "
MA FUTURE EX-FEMME, roman autobiographie
Richard Ossoma-Lesmois
Ecrivain humaniste
Ce roman autobiographique, raconte une histoire, celle de son auteur. Le récit est inspiré des faits réels. Dans la jungle des sentiments, Cassandra devenait à nouveau éligible au marché de l'amour et du sexe. Lisez le synopsis du roman de Richard Ossoma-Lesmois, Ma future ex-femme. Après huit années passées dans le mariage, Cassandra décidait de rompre avec son mari. Une décision appuyée par belle-mère qui rechignait d'accepter le mariage mixte de sa fille. La voilà libre, Cassandra tentait une nouvelle vie en toute liberté et goûtait à d'autres saveurs. Une éprouve douloureuse pour son mari qui réalisait qu'en matière de séparation, le premier qui trouvait, gagnait.
Descriptif
Je me représentais à quel point mon existence était suspendue à attendre le jugement du divorce. La lenteur administrative m’effrayait. Ce qui n’était pas le cas de mon épouse qui affichait une indifférence quant à la rupture de notre vie conjugale. Avec les conséquences que cela comportait : l’éparpillement des enfants par la mesure complémentaire de la garde alternée. Prise par la folie d’une époque, ma femme osait le divorce. Notre mariage durait huit ans. Vivre en couple un moment puis, se séparer. Au moins, Cassandra avait tenté l’expérience.
Du coup, ma future ex-femme réclamait la garde des enfants, tout en complétant garder l’usage de mon nom imprimé sur sa carte nationale d’identité et sur l’ensemble de ses documents administratifs. Le souvenir de notre amour. Et moi, j’écrivais son nom en lettres de passions dans mon cœur. J’imprimais son nom dans mon âme. Même les démons de la séparation savaient, pour l’éternité, que je l’aimais. Après huit ans de mariage, Cassandra reprenait sa liberté.
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